Fin 2013, la photo d'Alain Soral faisant ce geste controversé dans les allées de la fondation commémorative des juifs acheter chaussure nike tn assassinés en Europe avait commencé à circuler sur plusieurs sites internet. Alertées, l'Union des étudiants juifs de France (UEJF) et l'association J'accuse ont saisi le tribunal correctionnel sur citation directe afin qu'Alain Soral y comparaisse pour injures Nike Tn publiques à caractère racial. A chaussures nike tn pas cher l'audience, le 12 mars, le quinquagénaire soutenu par un public nombreux a soutenu que cette photo n'était pas destinée à circuler "au-delà d'un cercle d'amis". Si elle a été plus largement diffusée sur internet c'est, selon lui, le fait d'un pirate informatique qui l'a récupérée pour la transmettre au site d'opinion israélien en fran?ais JSS News. Quant au geste, créé par le polémiste Dieudonné, il a soutenu l'avoir d'abord fait en signe de ralliement au "fist-fucking", car le Mémorial serait selon lui un lieu de rendez-vous homosexuel. Au-delà Nike TN de cette interprétation "privée", une interprétation "publique" de cette "quenelle" est également possible, toujours selon lui: celle d'"un geste d'insoumission envers les manipulateurs sionistes de la Shoah". Il ne s'agissait pas selon lui de s'en prendre à la mémoire des victimes juives du nazisme. "J'aurais été désolé de faire de la peine à des gens qui ont souffert dans leur chair", a-t-il expliqué, appelant à faire le distinguo entre antisionisme et antisémitisme. Trois anciens déportés, cités par l'une des parties civiles, l'association Mémoire 2000, et présents à l'audience, nike tn requin pas cher france lui ont opposé leur indignation. "Je n'aurais jamais pensé (que) quelqu'un dans ce lieu puisse faire autre chose que de penser, de se recueillir", a notamment dit d'une voix forte Isabelle Choko, 86 ans, déportée au camp d'Auschwitz-Birkenau. "Il y a un Nike Shox moment où il faut s'extraire de ce geste et se pencher sur le propos habituel de son auteur", a estimé, toujours à l'audience, le procureur, Annabelle Philippe, rappelant qu'Alain Soral avait été condamné à deux reprises pour des propos visant la communauté juive. La magistrate a suggéré au tribunal de condamner Alain Soral, mais n'a pas évoqué de peine. Les associations parties civiles lui réclament un peu moins de 250.000 euros de dommages et intérêts au total.
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